Pas de chance mais une hanche,
Pourtant cela aurait été si bien,
Que tout autour de nous soit étanche,
Nous aurions tisser des liens.

Un, deux, trois prêt !
Et pourtant si loin
Il faudra peut-être attendre les foins,
pour que tu mets.

J'attends, j'attends le temps,
Que Cartier m'en soit témoin,
Je veux le rhume des foins,
Je te veux là et maintenant.

C'est une maladie du Cœur,
Et j'en ai bien peur.
Il ne faut pas grand chose aux hommes,
Pour qu'ils ne soient plus hommes.

De loin on ne dirait pas,
Même avec un ciseau à la main,
Il est toujours là pour aller en A.
Et pourquoi pas dans l'Ain?

Nez, cheveux, muscle, pc,
Pressé, occupé, aimé,
Un mille-Shake omniprésent,
Qu'on ne peut loupé même en étant lent.

Le soleil dans une plaine,
Qu'aurait put traversé la communauté,
Au loin cette montagne inhabitée,
tout cela vers lui nous mène.

Kerris von Amn, Kerrisou le loulou,
Faut pas pousser mamie dans les orties,
elle finira par rester au lit,
Même si Kerris lui fait un bisou dans l'cou.

La mélancolie se dessine,
Mais je paye pas de mine,
Le moine C'est fait piquer sa robe,
Tout nu, il se retrouve dans l'Aube,
C'est ainsi par ici,
Que nos têtes ne sont que taudis.

Glouglou, l'alcool quittant sa prison,
Le verre, non c'est mieux le gazon,
Cette vielle dame oubliée,
En tissant sous l'arbre enneigé,
Prier, il ne restait que ceci,
Dans nos têtes devenus taudis.

Du miel dans la compote hé,
Un brin d'herbe sous le nez,
Ne jamais prendre le sceau,
Rire et mourir vous y avez signés.

Je surligne mon monde d'une droite.

Passage du Rubicon, Dimanche 30,
Ne pas paniquer, être lente,
Aimer les moments difficiles,
Pour apprécier ceux qui nous plantent.

I need you mademoiselle.

Du plaisir que nous nous portons,
Le chat ne miaule pas sur le maçon,
D'un vote, nous voici Flibustier,
Bouffer, acheter, seul mot à l'horizon.

Chaire, vache, lait vous l'êtes.

Sautez de joie quand le passé revient,
C'est annulé pour la saint Corinthien,
Grattez de votre souffle la terre,
Il n'en ressortira le bien du mien.

Frédéric s'en branle totalement.

Cracher du rouge, infesté, imprégné,
Fléau du monde, fléau des volontés,
Que la connerie vole au dessus d'ici,
Ils nous auront ces cons fédérés.

Par Zeus, dieu de mes rêves.

Que foudre, tonnerre et Pikatchu,
S'acharne sur leurs cortex mou,
Faute de penser dans le vide,
Que rouge arrête de crier au loup

Deuxième plaie de nous tous.

Que le câble lâche d'un coup sec,
L'étoile ne survivra pas sous la pastèque,
Le retour impossible mais se fait désirer,
Con que sont les gens, Viva les métèques.

Je la forcerais, je l'obligerais, à quoi bon?

Même le Lému et Hyperman ne peuvent se voir,
Pourtant sans crier "armistice", je désespoir,
Coulant le long du vide, ce n'est pas assez long,
Accroché par les pensées, tout s'écoule de la Loire.

Chasse aux sorcières, à mort les syndiqués !

Chercher dans le vide,
Le ventre c'est un bide,
Pourtant Paris est une bombe,
La sentinelle en devient livide.

De ma mine, je l'empointe.

Henri disait tout allait,
Herbert avait perdu son mulet,
Façon c'est le vent qui pointe,
Moi j'aime peindre les volets.

Du bleu, un do voici le monde.

Mal du siècle comme disait Babar,
Mais Lenoir a un terroir sans malabar,
Poster du rouge dans la Creuse,
C'est s'être accrocher au comptoir du bar.

Plus le temps, plus le temps.

Courir comme le vent,
Pour rattraper le temps,
Et aller dinez chez Serge,
En saluant le le Sultan.

Il est temps de partir pour Liège.

Du noir là bas c'est courant,
Quand arrive le jour d'avant,
Pourtant elle le regardait,
Tel l'honneur dans un champ.

Trouvons tous des plis!

Chante comme la bougie,
Qui ne vit qu'une nuit,
J'ai compris ce que tu disais,
Coupe ongle du vers en Mi.

Il aimait un néant!